A travers la mise en scène de petites moments, d’évènements du quotidien (les larmes qui coulent, le sommeil, la poussière, les bobos, la musique, la peur…) Beatrice Alemagna nous offre la fugacité.
Elle nous donne à observer le caractère éphémère des choses avec une grande poésie, une douceur et une tendresse palpable sur chaque double page.
Une banale suite d’instants qui met en œuvre nos souvenirs, les choses qui s’en vont apparaissent et disparaissent sur des calques au fil des pages qui se tournent.
Les choses disparaissent, passent mais une chose demeure et elle est essentielle : l’amour.